SPF Intérieur
- FOD Binnenlandse Zaken
Biographical History
Dès 1831, le ministère de l’Intérieur fut en charge de l’administration générale, des relations avec les provinces et les communes, des élections, de la milice, de la garde civique, des statistiques, des cultes, des prisons, de la bienfaisance et de la sûreté publique, en sus de gérer les questions liées à l’enseignement, à l’instruction publique, à la santé et aux affaires économiques. Ces attributions changèrent en partie au cours des remaniements successifs, suite notamment aux transferts de compétences opérés vers le ministère de la Justice, pour ce qui est des cultes, des prisons, de la bienfaisance et de la sûreté publique. Au 19ème siècle, ce ministère est qualifié de « département fourre-tout », il contient les germes de futurs grands départements. De nombreuses commissions, comités et groupes de travail furent institués par arrêté royal ou ministériel pour donner des avis au ministère, à ses départements et aux services ministériels. On notera notamment la Commission de la reconnaissance nationale.